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lundi 28 novembre 2011

HYPER ET BASSES FRÉQUENCES ......MALADIES, ACIDIFICATION CHRONIQUE

ELF ..... ENERGY LOW FREQUENCY.......BASSES FRÉQUENCES


L’implication des extrêmement basses fréquences.

On sait, d’après des recherches in vitro et in vivo réalisées aux U.S.A., que ce sont principalement les extrêmement basses fréquences (entre 1 et 2000 Hz) qui ont les effets biologiques les plus importants sur le vivant. On a pu montrer que les fréquences radio (de 300 Mégahertz à 30 Gigahertz) sont nettement plus nuisibles et plus insidieuses lorsqu’elles sont modulées par des fréquences basses. Les hautes fréquences (radio et micro-ondes) sont toxiques à de fortes intensités parce qu’elles exercent un effet d’échauffement sur certains organes. Elles dénaturent ainsi la matière vivante en exerçant un effet destructeur par cuisson.

C’est uniquement sur base de cet effet de cuisson que les recommandations d’exposition proposées par l’ICNIRP (Commission Internationale de Protection contre les Radiations Non Ionisantes) et reprises par l’O.M.S. sont établies [11]. Les effets de résonance sont totalement ignorés par les instances internationales et c’est une erreur grave, car ces effets destructeurs (par désorganisation progressive des systèmes organiques) ne seront perceptibles qu’à long terme sur l’homme exposé. Comme toujours, l’utilisateur (consommateur) servira de cobaye, alors que les effets néfastes sont décrits avec données statistiques sur des membres de corps d’armées (opérateurs radar et opérateurs radio ainsi que sur le personnel de l’ambassade U.S. à Moscou entre 1965 et 1982)[12].


Des mécanismes connus.

Malgré les discours lénifiants et rassurants des responsables des sociétés vendant de l’électricité, et des opérateurs de téléphonie mobile, ainsi que des politiques suspendus à leurs bénéfices (retournant en tout ou en partie aux états) et de chercheurs subsidiés par l’industrie, il existe un consensus scientifique mondial de spécialistes indépendants pluridisciplinaires quant aux effets des champs électromagnétiques sur le vivant. La membrane cellulaire est un site d’action privilégiée. Des chaînons de protéines sont stratégiquement situés à la surface des cellules dans les tissus. Ils y agissent comme détecteurs de messages électriques et chimiques arrivant au niveau de cette surface. Ils les traduisent ensuite et les transmettent à l’intérieur des cellules. Il s’agit d’un couplage de transduction qui est bien connu. Les cellules accomplissent ainsi un triple rôle : la détection des signaux, l’amplification des signaux, la transmission des signaux à l’intérieur des cellules. Les ions calcium (Ca2+) jouent un rôle essentiel à chaque étape de cette signalisation transmembranaire et ont été utilisés comme marqueurs des interactions de champs électromagnétiques avec un grand nombre de tissus et de cultures cellulaires. La fuite de calcium des cellules concernées a révélé cette sensibilité aux champs électromagnétiques à extrêmement basses fréquences.

L’activité métabolique cellulaire est entretenue par l’ATP (adénosine triphosphate). La défaillance de l’ATP implique l’enzyme en relation avec la membrane cellulaire : l’adénylate-cyclase. Or, d’après de nombreuses recherches, il est évident que l’adénylate-cyclase est sensible aux champs électromagnétiques. Son rôle dans la consolidation de fractures rebelles (pseudarthroses) [14] par application de champs magnétiques(*) à la fréquence pulsée de 72,5 Hz confirme ce fait déjà acquis par d’autres voies d’exploration [15].

Les enzymes messagères protéines-kinases sont activées par ces signaux en relation avec la membrane cellulaire et peuvent ainsi se répandre à l’intérieur des cellules, diffusant des signaux vers beaucoup de structures et même vers le noyau cellulaire [17-18].

La multiplication cellulaire implique l’ornithine-décarboxylase, laquelle synthétise des polyamines (putrescine, spermine, spermidine). L’activité de l’ornithine-décarboxylase est modulée par les champs électromagnétiques à extrêmement basses fréquences et par les ondes radio modulées par des extrêmement basses fréquences .

De plus, il est scientifiquement admis que les signaux électromagnétiques externes traversant la membrane cellulaire sont des modulateurs de la communication de cellule à cellule dans la régulation de la multiplication cellulaire[20-21]. Les cellules communiquent avec leurs voisines via des champs électriques bien plus faibles que ceux dus au potentiel de la barrière électrique établie par la membrane. (Ceci montre bien par exemple, comment un potentiel électrique généré à la racine d’une dent par un effet électrogalvanique buccal peut induire diverses perturbations douloureuses ou réactionnelles, telles les névralgies du trijumeau).

Les recherches de biocompatibilité individuelle des matériaux dentaires.

Les métaux dentaires peuvent être responsables de troubles divers. Leur dépistage in vivo est capital. Ces métaux peuvent être responsables de divers troubles ne répondant pas à des tableaux étiologiques connus (excepté pour le mercure et le béryllium). Il ne s’agit en général pas de manifestations relevant de la toxicologie, mais de sensibilités individuelles.

De plus l’électrogalvanisme est la source d’une irritation électrique des nerfs dentaires (effet de pile). Lorsque le potentiel électrique entre deux alliages est suffisant, il peut donner lieu à des troubles divers : vertiges, nausées, névralgies du trijumeau, maux de tête, parodontoses..

Les machinistes de chemins de fer.

En 1994-1995, les Chemins de Fer Fédéraux Suisses ont procédé à une étude épidémiologique sur les machinistes de locomotives électriques. Il y est apparu que le risque de leucémie sur ces personnes, comparées à d’autres activités professionnelles liées au rail est multiplié par deux. La diffusion de cette information a été plus que discrète

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